Suite à la victoire du non et donc celle d'Alexis Tsipras, ce dernier surprend en devenant le partisan du oui. Le 14 août, le plan européen d'aide est accepté par le Parlement grec, à la suite de débats houleux. Alexis Tsipras perd la majorité. L'aile gauche de son parti, Syriza, est opposée à des contrôles aux conséquences encore plus dramatiques. Pour gagner, Tsipras fait appel à des partis qui sont favorables à l'austérité. Le 20, la Banque Centrale Européenne reçoit de la Grèce, comme prévu, un remboursement de trois milliards deux cents millions d'euros. Le 21, Tsipras démissionne, entraînant des élections législatives anticipées.