Qu'il n'eut du jamais existé ce jour d'octobre pointant son aube perlée de tristes augures et je n'aurais jamais connu, par trois fois, des heures cauchemardesques et une descente aux enfers où règne le dieu Hadès.
Qu'ils n'eurent jamais dus être déposés, dans ma messagerie privée, sur un site littéraire internet, par une dame poétesse, ses quelques mots enflammés d'amour que mes écrits lui inspiraient, un amour charnel et fusionnel allant au-delà des vers et des thèmes abordés, vers leur auteur qu'elle eut désiré rencontrer, se lier d'amitié avec lui et, surtout le connaître physiquement et intimement.
Que je ne dus jamais, même par simple politesse la remerciant pour son délicat commentaire fort imagé et sans ambages sur ses intentions, y répondre. Mais elle persista à m'adresser des messages toujours enflammés qui allaient s'accumulant et que je détruisais, sans les lire, quand ils devenaient encombrants par leur nombre.