Pour moi, je saurai comment dater mon paisible et dernier
séjour dans nos campagnes : c'est l'année, dirai-je, où il fut
tant parlé de la veuve de Corré, l'hiver où je vis dans un
manoir le brave journalier Primel gagnant ses habits de noce ;
scènes touchantes, indiquées par vous, vivante poésie qui
m'attira tout d'abord, et que j'essayai, à mesure qu'elle se
développait, de saisir dans sa vérité, pour un jour, madame,
vous en faire hommage.