À L'OMBRE DE LA CHAIR...
Oui mais en quel sens ?
- Comme être à l'ombre d'un bel arbre en plein été ?
- Comme être à l'ombre sur l'île d'Alcatraz ?
Les deux mon capitaine...
Car la chair en même temps qu'elle nous fait aimer la Vie, elle nous emprisonne dans un couloir de la mort qui nous conduit à la peine capitale.
Les poèmes de ce recueil, écrits dans un style néo-classique, surfent sur cette ambivalence...
Tantôt gentiment sensuels tantôt lugubrement réalistes...