En vous adressant, mon cher Girardin, ce nouveau volume de ces notes intimes que le public a appelées Confidences, je ne puis m'empêcher de sentir un nouveau serrement de cœur. Ce que j'avais trop prévu est arrivé. En ouvrant ma vie, elle s'est évaporée. Ce journal de mes impressions a trouvé grâce, indulgence, intérêt même auprès de quelques lecteurs, si j'en crois les anonymes bienveillants qui m'ont écrit