Sans avoir alors autant d'intelligence qu'un chien ou un chat, j'étais comme eux un animal domestique, et comme eux, j'aimais la louange que les bêtes sauvages dédaignent. Dans un transport qui toucha les deux mères, la jeune Alphonsine me souleva de terre, me pressa sur son cœur et me couvrit de baisers en vantant ma gentillesse. Et dans le même moment, elle me piquait les mollets avec une épingle. »