Il y a une « affaire Shakespeare ». Depuis soixante-dix ans que le consul britannique Jo. C. Hart l'a ouverte, elle a suscité assez de volumes, d'études, d'articles pour emplir une bibliothèque publique. Ce n'est pas une querelle philosophique sur le sens, la valeur, la portée de l'œuvre ; c'est plutôt un problème à la façon d'Edgar Poë : il s'agit de savoir si Shakespeare est ou non l'auteur des ouvrages de Shakespeare. Sherlock Holmes, à défaut de M. Dupin, serait bien utile pour résoudre cette question difficile