C'est le sort de toutes les conversations de passer d'un sujet à un autre."
Cette phrase, écrite à la fin de L'Homme aux quarante écus, en résume bien la forme. Ce n'est pas tout à fait un conte, encore moins un roman, mais plutôt une suite d'historiettes et de dialogues où Voltaire, sous des dehors facétieux, a jeté à peu près tout ce qu'il avait sur le coeur.