Le sort du citadin, surtout du citadin besogneux, est intimement lié à celui du rural.
Si l'homme des champs connaît bien les secrets de son art, il produit mieux, plus abondamment et à un coût de revient moindre, les choses nécessaires à la vie.
Il est heureux...
Le citadin bénéficie de ce bon marché et de cette bonne qualité des denrées alimentaires et autres dont il a un besoin journalier.
Et il est heureux aussi...
Le citadin est donc tout aussi intéressé que le campagnard au progrès des choses de l'agriculture, et se doit à lui-même comme il le doit à la société entière, de contribuer le plus possible à la prospérité de l'homme des champs -- nourricier du genre humain.
Aider le laboureur à approfondir les nombreux secrets de son noble mais difficile métier, c'est du même coup contribuer au bien-être de l'homme des villes, partant de la communauté en général.