À lire absolument !
1574 vers, hors sonnet et rondeau final – alors que "Le cid" en comporte 1748 –, c’est déjà une prouesse ; mais évoquer la “cuisante lame” à coups de scalpel, dans le respect des contraintes de l’alexandrin et de la musicalité des mots, c’est de la haute voltige !
Du ton le plus léger au plus virulent, en passant par le propos le plus noble et le plus abject, un tour d’horizon percutant qui fait froid dans le dos au final. Ils ont beau chercher à rivaliser, l’humour et l’ironie ne pèsent pas lourd face au bain de sang. Guerres et révolutions ont été, sont et seront malheureusement toujours jumelles dizygotes.
À lire absolument !
Une prouesse !
Ayant eu le privilège de suivre l’éclosion de “Avis tranchés en tête-à-tête”, j’abuse et m’octroie la primeur du commentaire et de la salve étoilée que je renouvellerais volontiers façon salves au canon retentissantes. /// 1574 vers, hors sonnet et rondeau final – alors que "Le cid" en comporte 1748, m’as-tu écris –, c’est déjà une prouesse ; mais évoquer la “cuisante lame” à coups de scalpel, dans le respect des contraintes de l’alexandrin et de la musicalité des mots, c’est de la haute voltige. Admiration et respect, l’ami poète ! /// Du ton le plus léger au plus virulent, en passant par le propos le plus noble et le plus abject, tu nous offres un tour d’horizon percutant qui fait froid dans le dos au final. Ils ont beau chercher à rivaliser, l’humour et l’ironie ne pèsent pas lourd face au bain de sang. Guerres et révolutions ont été, sont et seront malheureusement toujours jumelles dizygotes. /// Merci pour le partage de ce travail colossal, documenté, agrémenté d’improvisations si criantes de vérité que l’on peine à dissocier le vrai du faux. L’immersion, bien que versifiée, est totale… Bravo !